Menu


Les protestants des 13e et 5e arrondissements de Paris. Temple de Port Royal & Maison Fraternelle

CULTE DU 25 AVRIL 2021 " Au nom de quoi ?"

Aujourd'hui, les lecteurs et lectrices sont Valérie Pasquet, Leila Hamzaoui, Michel Hessel et Nicolas Bonnal, le prédicateur est Robert Philipoussi (enregistré au Temple), le pianiste (enregistré au Temple) est Olivier Mazal



PIANO

entree.mp3 Entrée.mp3  (1.87 Mo)

entree_2.mp3 Entrée 2.mp3  (1.77 Mo)


SALUTATION

salutation_11.mp3 SALUTATION.mp3  (3.32 Mo)

Que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était et qui vient, et de Jésus-Christ, le témoin fidèle

Frères et soeurs, soyez les bienvenus. Levons la tête, ouvrons les yeux. Accueillons le, comme il nous accueille et comme nous nous accueillons les uns les autres. Ce jour est un jour tout neuf. Il n’a jamais existé et il n’existera jamais plus. Prenez donc ce jour et faites-en une échelle pour accéder à de haut sommets. Ne permettez pas que la tombée du jour vous trouve semblable à ce que vous étiez à l’aube. Faites de ce jour un jour unique, mémorable. Ce jour est un don de Dieu. Il n’est donc pas quelque chose d’ordinaire, de fortuit, quelque chose qui va de soi. Il vous est spécialement offert. Prenez-le entre vos mains, prenez-en soin, avec ferveur.

Soyez fraternellement accueillis dans le nom de Jésus-Christ.

 

Esprit de lumière et de vérité, éclaire pour nous le moment que nous allons vivre. Conduis-nous dans la vérité. Esprit de sainteté, prends place en nos pensées et nos cœurs, rends-nous attentifs à ta volonté. Esprit d’amour, de joie et de paix, brille en nous comme une flamme que rien ne puisse éteindre. Amen.




PIANO

musique_3.mp3 Piano 3  (3.41 Mo)


 

LOUANGE

louange_5.mp3 LOUANGE.mp3  (3.63 Mo)

Psaume 62

C’est auprès de Dieu seul que je suis tranquille ; c’est de lui que vient mon salut. Lui seul est mon rocher et mon salut, ma citadelle : je ne vacillerai guère. Jusqu’à quand vous jetterez-vous sur un homme,chercherez-vous tous à le tuer,comme un mur qui penche,comme une clôture qui se renverse ? Oui, ils projettent de le renverser de son poste élevé ; ils se plaisent au mensonge. De leur bouche, ils bénissent ;au fond d’eux-mêmes, ils maudissent. Pause. Qu’auprès de Dieu seul je sois tranquille,car de lui vient mon espoir. Lui seul est mon rocher et mon salut,ma citadelle : je ne vacillerai pas. Sur Dieu reposent mon salut et ma gloire ; le rocher de ma force, mon abri, est en Dieu. Mets en lui ta confiance en tout temps, peuple ! Répandez votre cœur devant lui ! Dieu est un abri pour nous. Pause.

Les êtres humains ne sont qu’une vapeur ;les hommes, un mensonge.S’ils montaient sur une balance,ils seraient, à eux tous, plus légers qu’une vapeur. Ne mettez pas votre confiance dans l’oppression,ne placez pas un espoir futile dans la spoliation ;quand les richesses s’accroissent,n’y attachez pas votre cœur. Dieu a parlé une fois ;deux fois j’ai entendu ceci : c’est que la force appartient à Dieu.


REPENTANCE

repentance_1.mp3 REPENTANCE.mp3  (841.55 Ko)

Pardonne-nous, notre Père, car nous avons péché ; fais-nous grâce, notre Roi, car nous

avons failli, car tu es celui qui fait grâce et pardonne. Béni es-tu, Seigneur, qui fais grâce

e et multiplie le pardon. (6 bénédiction)

Pardonne-nous nos péchés comme nous les pardonnons à tous ceux qui nous on fait souffrir.


PARDON

pardon_2.mp3 PARDON.mp3  (749.31 Ko)

Esaïe 49.14-15

Sion disait : Le SEIGNEUR m’a abandonnée, l e Seigneur m’a oubliée ! Une femme oublie-t-elle son nourrisson ? N’a-t-elle pas compassion du fils qui est sorti de son ventre ? Quand elle l’oublierait, moi je ne t’oublierais pas.



VOLONTÉ DE DIEU

volonte_de_dieu_3.mp3 VOLONTÉ DE DIEU.mp3  (3.04 Mo)

Voici quelques recommandations, dans quelques extraits d'un texte qui s'appelle la «Didaché » qui servait à la fin du premier siècle de notre ère ou au début du deuxième, à enseigner des juifs qui avaient la particularité à cette époque d'avoir trouvé en Jésus de Nazareth leur Messie.

 

. Tu ne désireras pas la division, mais tu apaiseras ceux qui se disputent ; tu jugeras avec droiture, tu ne feras pas acception de personne quand il s'agira de convaincre quelqu'un de transgression ; tu n'auras pas le cœur partagé entre les suites de tes décisions. . N'aie pas les mains tendues pour recevoir et fermées pour donner.

. Tu n'hésiteras pas à donner et tu ne murmureras pas en donnant. . Tu ne te détourneras pas de celui qui est dans le besoin, mais tu auras tout en commun avec ton frère et tu ne diras pas que cela t'appartient en propre. En effet, si vous participez en commun à ce qui est immortel, combien plus aux choses périssables ! . Ne retire pas ta main de dessus ton fils ou de dessus ta fille, mais dès la jeunesse enseigne-leur la présence de Dieu. . Tu haïras toute hypocrisie et tout ce qui n'est pas agréable au Seigneur. Tu n'abandonneras pas les commandements du Seigneur, mais tu garderas ce que tu as reçu sans y rien ajouter ni en rien retrancher.






PRIÈRE D'ILLUMINATION ET LECTURES

prière_d__illumination_9.mp3 PRIÈRE D'ILLUMINATION.mp3  (377.06 Ko)

lecture_evangile_de_jean.mp3 LECTURE 1ERE LETTRE DE JEAN  (1.37 Mo)

lecture_actes.mp3 LECTURE ACTES.mp3  (1.87 Mo)

Telle puisse être ta volonté, Seigneur... de guider nos pas dans ta parole et de nous attacher à tes commandements.

1 JEAN 3, 1-2

Voyez quel amour le Père nous a donné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes ! Si le monde ne nous connaît pas, c’est qu’il ne l’a jamais connu.

Bien-aimés, maintenant nous sommes enfants de Dieu, et ce que nous serons ne s’est pas encore manifesté ; mais nous savons que, quel que soit le moment de sa manifestation, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui est pur.

 

ACTES 4, 8- 12

Alors Pierre, rempli d’Esprit saint, leur dit : Chefs du peuple et anciens, puisque nous sommes interrogés aujourd’hui sur un bienfait accordé à un homme infirme et sur la manière dont il a été sauvé, sachez-le bien, vous tous, ainsi que tout le peuple d’Israël : c’est par le nom de Jésus-Christ le Nazoréen, que vous avez crucifié et que Dieu a réveillé d’entre les morts, c’est par lui que cet homme se présente en bonne santé devant vous. C’est lui, la pierre que vous, les constructeurs, vous avez méprisée, et qui est devenue la principale, celle de l’angle. Le salut ne se trouve en aucun autre, car il n’y a sous le ciel aucun autre nom donné parmi les humains par lequel nous devions être sauvés.



PIANO

morceau_4.mp3 Piano 4.mp3  (1.37 Mo)


 

PRÉDICATION, PAR ROBERT PHILIPOUSSI ET PIANO PAR OLIVIER MAZAL

predication_et_piano.mp3 PRÉDICATION ET PIANO.mp3  (31.66 Mo)

PRÉDICATION

Au nom de quoi faisons-nous les choses que nous faisons ?

L'apôtre Pierre déclare que lui et son équipe guérissent les malades et qu'ils le font "au nom de Jésus de Nazareth". Le seul "nom donné par les humains" , ajoute Pierre "par lequel nous devions être sauvés.

Mais nous, les choses que nous faisons - j'évoque ici les choses faites avec un minimum d'intentionnalité ; par exemple : " choisir un livre à lire" ou "aller choisir telle race de chien", ou tel lieu de villégiature, ou " s'engager dans telle ou telle association"... au nom de quoi, toutes ces choses, les faisons-nous ?

Pour préparer cette prédication, je me suis testé moi-même et me suis forcé à me justifier. Au nom de quoi, voire de qui fais-je les choses?

Je vous avoue que la première conséquence de cette démarche a été l'arrivée d'un brouillard. Un brouillard épais. Avant, je faisais les choses en certitude qu'elles venaient de quelque part. Qu'elles avaient un sens et une direction. Qu'elles étaient la conséquence d'une cause , d'une logique que je n'aurais eu aucun mal à déterminer si toutefois on me l'avait demandé.

Or, voilà que je m'en faisais la requête.

C'est un peu comme si du haut d'une montagne, je m'étais mis à vouloir observer la vallée dans laquelle je passe mon existence . Et voilà que je commençais à localiser les divers endroits du village tout en bas, où j'habite: l'officine de la pharmacienne, l'Église, le centre culturel, la décharge, le cimetière.

Et que, tout à coup, en essayant d'encore mieux voir, un épais brouillard blanc, un gros nuage bas m'empêchait de continuer l'exercice. Que m'avait-il pris d'aller sur ce sommet ?

Ensuite, bien résolu à vouloir que ce brouillard se dissipe, j'ai continué la démarche. J'isolais les séquences d'actions que je commettais selon le contexte, qu'il soit amical, professionnel, mixte. Et je me demandais au nom de quoi, toutes ces actions, je les faisais.

Je repérais alors beaucoup d'habitudes. Il m' alors fallu me demander d'où était venue la première poussée qui avait inauguré cette habitude ou cette répétition maîtrisée, peut-être automatisée, ou simplement devenue fonctionnelle .

Et là, le brouillard a commencé un peu à se dissiper.

Ma première révélation, dont je ne savais pas encore qu'elle n'était qu'une illusion partielle, a été de penser que la plupart des choses que je faisais, je les faisais au nom de moi-même. Ou mieux, au nom d'une certaine image que j'ai de moi-même, et encore plus précisément, au nom d'une image de moi-même dont je pensais qu'elle devait être la bonne pour être approuvée voire reconnue par les autres. Pour sommairement, ne pas être éjecté du clan qui est aussi ma maison sociale, dont je n'ai pas envie d'inaugurer le bucher.

J'aurais pu m'arrêter là.

Mais j'ai continué ce procès en justification , et sachez bien que je ne parle pas de moi, je tente de parler avec vous et de vous inviter aussi à ce débat avec vous-même et à vous demander au nom de quoi, les choses que vous faites, vous les faites.

 

J'ai continué. Je me suis alors aperçu dans la lignée de ma première observation - je fais certaines choses au nom d'un désir de me conformer à l'image que les autres attendent de moi, en particulier d'un point de vue fonctionnel - je me suis aussi aperçu que beaucoup de choses, je les faisais, au nom d'un "autre" singulier et non pas "social", un autre, peut-être décédé depuis longtemps, peut-être encore présent, non pas pour simplement "lui plaire" mais à cause d'une éventuelle dette, fictive ou réelle, que j'aurais contractée et qu'il faudrait, que sempiternellement, je rembourse. J'écoutais récemment l'interview d'un prix Nobel en physiologie qui a beaucoup travaillé sur l'immunité acquise, à partir d'études sur insectes et qui a avoué au journaliste qu'en fait, il aurait préféré la littérature, mais que son père, un entomologiste, l'en avait empêché.

Cette élucidation de ce qui n'est qu'une démarche pathétique, un peu aussi comme " tu seras un homme, mon fils" ou " tu hériteras de ma charge notariale" m'avait permis de continuer.

Et quelle ne fut pas ma surprise de constater qu'un " nom " certes flou, sans forme, mais qu'une forme de "nom" commençait à apparaitre.

Ce "nom", cette cause était beaucoup plus profonde que ce que j'avais préalablement aperçu. Car il y en avait une, de cause. Il y avait quelque chose. Il semblerait qu'il y avait un nom qui ferait que je ne suis pas simplement un être absurde et répétitif, ou qu'un être enfermé dans la croyance en son "ego" ou qu' un pantin social, ou qu'un débiteur perpétuel, débiteur d'une dette, ou débiteur de paroles qui ne sont pas "toutes siennes" .

 

Or certes, à ce moment de mon travail- et pour continuer la métaphore, en quittant la montagne pour retourner dans la vallée et dans cette vallée m'approcher d'une rivière, ce "Nom" confus, n'était encore qu'une ombre, qui serpentait au fond de cette rivière et qui tournait autour de mon fil de pêche: une grosse carpe encore muette comme une carpe.

Une raison, "un nom", une cause dont mes actions les plus intentionnelles seraient les conséquences, quelque chose qui me rappelait qu'il n'était pas tout à fait absurde de vivre. Quelque chose bien au-delà du vide, bien au delà d'un ego dont je ressens tellement la futilité, quelque chose qui serpente au fond mais dont je sens la danse, et l'appel lors de tous mes moments de dérapages, d'esquive, de fuite, de méprise, d'abandon et de renoncement.

À ce moment-là de la prédication, je ne vais pas vous dire ce que j'ai commencé à percevoir dans ce brouillard en train de se dissiper. Je ne le ferai pas car jusqu'ici j'ai voulu vous présenter une démarche et j'ai juste tenté d'être didactique et avec emphase je dirais "universel".

Si je disais maintenant ce que j'ai commencé d'apercevoir, je vous raconterai ma vie, et ce n'est pas ce qu'un prédicateur doit faire, même s'il fait croire qu'il le fait.

Je vais simplement vous dire que ce quelque chose, cette carpe muette comme une carpe au fond de cette rivière qui un jour se jettera ou sera jetée dans la mer, est l'appel d'une nécessité plus profonde, plus ancienne, plus collective que ce que j'appelle "mes choix" raisonnés, ceux qui font que bon gré mal gré, j'assume ma fonctionnalité dans un monde social qui ne comprend que les fonctions et méprise ou évite l'esprit, le charme, les nuances. Donc je suspens ici la description de ma recherche et je fais un saut. Un saut de carpe, évidemment.

Je me rappelle que la Bible a maille à partir avec le Nom. Celui dont tout le monde parle dans la Bible (sauf dans le livre d'Esther) soit est appelé par un surnom, soit par un nom dont la prononciation est un tabou, soit est appelé, comble de l'ironie " Le Nom". En hébreu, cela se dit "Shem", et cela a permis de désigner, à tord ou à raison, les "sémites".

Je me rappelle que cet humain à peine produit, selon le livre de la Genèse, est convié à nommer tout ce qui l'entoure. Ce qui nous informe sur cette manie du nom que nous avons. Il y a des noms partout. Et même tous les individus ont droit à des noms. Alors que les animaux, à part domestiqués-et encore, regardez les chats, où tous les Bubulles qui croupissent dans leurs aquariums- se débrouillent très bien sans et se reconnaissent mutuellement sans avoir besoin de ce subterfuge, de cette astuce bien humaine, qui a quelques avantages, et énormément d'inconvénients. Je dirais que la nomination d'un individu est d'une stupidité sans nom.

Revenons à Pierre qui se justifie de guérir des malades, par le "nom" de Jésus de Nazareth. Il révèle ainsi que selon lui, ce " Nom" primordial, a pris une forme compréhensible, audible: celle de l'expression " Jésus de Nazareth" , qu'il revendique comme la cause dont ses actions prétend-il, est la conséquence. Ainsi, si nous suivions l'exemple de Pierre, nous devrions être tous convaincus que, par exemple, si nous sommes venus ici ce matin, c'est au nom de Jésus de Nazareth.

 

Tous convaincus que, si nous agissons à travers le diaconat pour les plus démunis, c'est au nom de Jésus de Nazareth. Tous convaincus que si nous sommes engagés dans la vie de l'Église, c'est au nom de Jésus de Nazareth. Tous convaincus, peut-être que tout, dans notre existence, nos choix, nos amours et nos métiers pourquoi pas, se fait au nom de Jésus de Nazareth.

Or, en sommes-nous tous convaincus ? Je ne peux parler à votre place, mais je ne pense pas qu'immédiatement vous formuleriez les raisons - déjà de votre présence ici- de cette façon.

Oh certes, beaucoup de personnes revendiquent haut et fort que tout leur comportement se produit au nom de Jésus de Nazareth. Mais je ne crois pas, sans vouloir parler à sa place, qu'elle l'aurait souhaité, la personne de Jésus de Nazareth, avant qu'elle ne devienne une formule.

Et surtout, je n'en crois pas un mot. Je ne crois pas et par définition ceux qui brandissent "la" cause , "le" nom qui les détermineraient.

C'est soit un pur mensonge opportuniste, soit une faiblesse intellectuelle. Car il suffit de se sincèrement se poser un peu, de prendre du champs et de faire un petit effort pour gravir un sommet pour accéder à un promontoire, pour voir rapidement le brouillard recouvrir sa vallée, brouillard quasiment invisible quand on reste au fond de sa vallée.

Mais ce que je crois, en revanche, c'est que pour un chrétien cette revendication du nom de Jésus de Nazareth, quand elle n'est pas qu'un simple fétichisme ou qu'une façon de manipuler les gens en leur faisant croire que tout est simple, est un viatique, parmi d'autres, un chemin, vers une origine bien plus vaste et profonde, plus insaisissable, qu'une simple identité formelle.

Un passage vers ce que la Bible appelle "Le Nom" - ce qui est je le rappelle, le comble de l'ironie théologique- et que dans cette prédication, j'ai figuré comme une carpe en eau profonde, une carpe mystérieuse, celle qui vous le savez veut toujours remonter le courant du fleuve.

 

Figuration fragile, je le concède, de ce qui me guide, alors que je prétendais vouloir la pêcher mais qui me rappelle que je suis là uniquement parce que l'univers a bien voulu que j'existe et que j'avais donc quelque chose à y faire. Et à le faire bien. Je vais donc continuer à remonter la rivière dans ma vallée en suivant ma carpe.

 

AMEN



CONFESSION DE FOI DE PHILIPPE LASSERRE

confession_de_foi_de_philippe_lasserre.mp3 CONFESSION DE FOI DE PHILIPPE LASSERRE.mp3  (2.86 Mo)


MUSIQUE

piano_5.mp3 PIANO 5.mp3  (1.14 Mo)







 
Deux jeunes filles pêchant, par  John Singer Sargent
Deux jeunes filles pêchant, par John Singer Sargent

OFFRANDE

Notre Église, son projet de vie, et sa Maison Fraternelle, ont bien besoin de se retaper depuis la pandémie, c'est pourquoi, si vous le souhaitez, vous pouvez lui faire un don

 

EN SUIVANT CE LIEN







ROULEAU / KAKEMONO, PEINTURE / LAVIS SUR PAPIER FIGURANT UNE CARPE KOI Japon, période Bakumatusu, milieu du XIXe siècle.
ROULEAU / KAKEMONO, PEINTURE / LAVIS SUR PAPIER FIGURANT UNE CARPE KOI Japon, période Bakumatusu, milieu du XIXe siècle.

PIANO À FREDONNER (Toi qui disposes)

_toi_qui_disposes_.mp3 "Toi Qui Disposes".mp3  (3.5 Mo)

Strophe 1

1. Toi qui disposes de toutes choses Et nous les donnes chaque jour, Reçois, ô Père ! Notre prière De reconnaissance et d'amour.

Strophe 2

2. Le don suprême que ta main sème, C'est notre pardon, c'est ta paix ; Et ta clémence, trésor immense, Est le plus grand de tes bienfaits.

Strophe 3

3. Que par ta grâce, l'instant qui passe Serve à nous rapprocher de toi ! Et qu'à chaque heure, vers ta demeure Nos cœurs s'élèvent par la foi !







PRIÈRE D'INTERCESSION

intercession_7.mp3 INTERCESSION.mp3  (2 Mo)

Didaché

Nous prions : Qu'il y ait une grande paix venant du Ciel ainsi qu'une bonne vie et la satiété, et la salvation, et le réconfort, et la sauvegarde et la guérison, et la rédemption et le pardon et l'expiation pour nous et pour tout Son peuple et dites Amen. Que celui qui établit la paix dans ses hauteurs, l'établisse dans Sa miséricorde parmi nous et sur tout son peuple. Que chacun de nous soit conforté dans la présence du Seigneur et vive heureusement la compagnie de ses frères Que lucidement chacun marche sur sa route en sachant éviter les impasses et trouve l'inspiration et le repos. Que nos bien-aimés soient protégés, que les souffrances soient amoindries, Que les deuils s'apaisent et dites Amen.







ENVOI ET BÉNÉDICTION

envoi_2.mp3 ENVOI.mp3  (2.09 Mo)

benediction_9.mp3 BÉNÉDICTION.mp3  (609.71 Ko)

Le Seigneur Jésus dit : Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.

Voici que vous avez trouvé grâce devant Dieu.

Venez et goûtez combien le Seigneur est bon.

Mon âme, bénis l'Éternel, Et n'oublie aucun de ses bienfaits!

 

PROVERBES Chapitre 4, ( extraits)

Acquiers la sagesse, acquiers l'intelligence ; ne sois pas oublieux et ne dévie pas des paroles de ma bouche. Ne l'abandonne pas, elle te gardera ; aime-la, elle te préservera.

Commencement de la sagesse : acquiers la sagesse, et avec tout ce que tu acquiers, acquiers l'intelligence. Exalte-la, elle t'élèvera ; elle fera ta gloire, si tu l'étreins ; elle mettra sur ta tête une parure gracieuse, elle t'ornera d'une couronne de splendeur.


Que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était et qui vient, et de Jésus-Christ, le témoin fidèle. Notre secours est dans le nom du Seigneur, qui a fait les cieux et qui a fait la terre. AMEN.








PIANO

piano_de_sortie.mp3 PIANO DE SORTIE.mp3  (3.91 Mo)

.


Nouveau commentaire :